Le papier électronique flexible, dont nous avons plusieurs prototypes au
Labo BnF, va progressivement devenir une réalité, et avec lui de nouveaux usages, des coûts très faibles et des modèles économiques innovants et indépendants. Sony en a démontré hier à Tokyo un dispositif expérimental de grande taille:
2 commentaires:
En approche comme tu nous l'avait signalé il y a un an. Merci.
Cependant il semblerait que les Chinois plébiscitent l'iPad, outil de convergence par excellence, au détriment des lecteurs e-paper (qui est perçu comme gadget, a contrario des tablettes qui semblent d'un usage plus universel alors que le reader pâtit du noir et blanc...)
Mais il est vrai qu'un reader souple, plus grand format et à condition de pouvoir se connecter au net viendra prendre le relais.
Le succès de l'iPad réside aussi dans l'App Store qui apporte un complément indéniable alors que ses concurrents se cantonnent essentiellement dans la diffusion de la littérature...
L'iPad est passionnant aussi, mais peut-être des questions relatives au rétro éclairage et la lecture (suivre la conférence de Thierry Baccino le 21 à la BnF), aux modèles marketing et économique, au prix (50€ la feuille dans 2 ans, 600€ l'iPad), la consommation, la taille, et la personnalisation.
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