Digital Paper (et non plus reader, tablette, "liseuse"), sont les mots pour désigner le dernier dispositif de Sony, uniquement distribué aux Etats-Unis pour l'instant, suivant un modèle économique et éditorial B-to-B.
Sans revenir sur les avantages de l'encre électronique en terme de lisibilité et d'autonomie, entre autres, ce "papier numérique" est impressionnant de légèreté pour qui l'a tenu dans ses mains. Ses fonctions d'écriture et d'annotation partagées approchent la perfection, en faisant la distinction entre stylet et paume de la main, entre écriture et interface de sélection/navigation. Sa taille A4 est le standard des documents professionnels, il est très utile pour le livre et les magazines.
"Digital Paper", deux simples mots, mais le signal fort d'une rupture annoncée: Le papier électronique entre dans l'ère du document d'entreprise, du livre de grande taille, et de contenus d'un nouveau type. Mais son développement, sa place entre média classique et tablette/smartphone/intelligence ambiante, sont des questions très complexes.
Il nous faut souvent des mois d'ateliers et d'échanges, d'analyse des retours d'expérience, de preuves de concepts, pour déterminer son impact, pour faire naitre les idées d'usage, et évaluer les modèles économiques pertinents.
Un projet d'expérimentation ou plus d'information sur les formats A4, A2 et mini?
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