Bien que l'iPhone ne soit pas le support de prédilection pour la lecture dense, Classics continue à nous émerveiller par le soin apporté à l'édition, pour son ergonomie de consultation, et pour la gestion de la bibliothèque personnelle.
Avec la dernière mise à jour, gratuite, Andrew Kaz et Phill Ryu nous proposent de nouveaux titres: Le Magicien d'Oz, l'Iliade, Le Comte de Montecristo, et Frankenstein.
Puissent-ils inspirer les éditeurs et créateurs de livres numériques, en particulier ceux qui travaillent sur dispositifs à base d'encre électronique! Trop de titres sont aujourd'hui diffusés dans des compositions médiocres (jusqu'aux illustrations qui souvent manquent cruellement), nous faisant préférer à raison leur version traditionnelle et mettant en question l'intérêt de ces nouveaux supports.
1 commentaire:
Malheureusement, j'en arrive à me deamnder si ce n'est pas volontairement que les éditeurs produisent des versions éléctroniques aussi médiocre de leur livre, afin de dissuader les gens de migrer vers les E.reader.Aux états Unis, la politique est meilleur : Livres électroniques moins chères que leurs versions poche. 1er tôme de série souvant gratuit, offre totale, etc..
En france, la Fnac qui est l'un des seul à proposer des Ebook, offre une sélection négilgeable d'oeuvres, sans illustration, et à des prix a peine moins chères que les versions reliées de ces mêmes livres.
Ils tentent de plus de justifiers tout ça avec des arguments tellement riddicules que c'est à se rouler par terre (prix de l'hebergement des oeuvres, de leur passage en numérique, lol..)
Etrangement, en France les livres sont trés peu piraté sur le net, contrairement aux usa, ou la présences de pleins d'oeuvres piraté par les utilisateurs en pdf, à poussé les éditeurs à vite proposer une offre attrayantes pour les consommateurs.
Il est triste de voir que, comme dans le domaine du cinéma et de la musique, les éditeurs acceptent de s'adapter aux nouvelles technologies que le couteau sous la gorge....
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