Petit indicateur dominical des attentes du marché en terme de e-reader, cette fin d'enchère pour un Sony Reader sur eBay: 600$ (pour un prix public de 350$), quinze jours seulement après la sortie du produit.
Je sais;-) Mais j'avais vu passer des commentaires très négatifs et un peu prématurés. C'est vrai aussi que je ne me souviens pas avoir vu le prix d'un produit à peine sorti grimper aussi haut.
Visiblement comme nous sommes que tous les deux, je vais me lacher un peu, un peu seulement. Si vous commander l'Ereader sur le site de Sony celui-ci n'est dispo que dans 3 ou 4 semaines, alors si un petit futé en dispose d'un il peu facilement trouvé un huluberlu pour l'acquérir. ce n'est en rien significatif. Maintenant il faut je pense faire le distingo entre la technologie du papier ou encre électronique et le produit fini. Seul le second m'intéresse. Cela fait bientôt sept ans que les constructeurs se cassent les dents sur le E-book, soit un 1/10 ou 1/11 ème de vie humaine c'est long! Leur analyse de l'échec est : un mauvais rendu de la chose écrite. Ce n'est qu'en partie vrai.Les éditeurs ont aussi une part de responsabilité. Car la "chose" peut être aussi, vue, lue et écoutée. Vous avez à votre board JL Gassé, je l'ai croisé quand il initiait les revendeurs Apple à la vente de l'Apple II. A l'époque Hardware et software même combat. Bien malin celui qui pouvait dire qui de l'Apple II ou de Visicalc tirait les ventes. Le ROI était vite calculé pour les cadres de l'époque. Un Ebook à 350$ ou 650 pour Irex, juste pour lire le dernier Dan Brown, meilleure vente électronique aux US en 2005,j'y crois pas. Mais mon analyse peut s'avérer érronnée. Le bundle "quotidien plus livre" est peut être une solution. Sur notre territoire la presse quotidienne semble bien hésitante face au quotidien numérique, qui semble mal supporter d'être vendu.Il va falloir du talent pour les convaincre de changer de modèle, a vous de jouer :-) Marc-André Fournier
4 commentaires:
Le filtre de votre passion pour l'encre électronique vous conduit à des analyses légèrement spécieuses ;-)
Je sais;-) Mais j'avais vu passer des commentaires très négatifs et un peu prématurés. C'est vrai aussi que je ne me souviens pas avoir vu le prix d'un produit à peine sorti grimper aussi haut.
Visiblement comme nous sommes que tous les deux, je vais me lacher un peu, un peu seulement. Si vous commander l'Ereader sur le site de Sony celui-ci n'est dispo que dans 3 ou 4 semaines, alors si un petit futé en dispose d'un il peu facilement trouvé un huluberlu pour l'acquérir. ce n'est en rien significatif. Maintenant il faut je pense faire le distingo entre la technologie du papier ou encre électronique et le produit fini. Seul le second m'intéresse. Cela fait bientôt sept ans que les constructeurs se cassent les dents sur le E-book, soit un 1/10 ou 1/11 ème de vie humaine c'est long! Leur analyse de l'échec est : un mauvais rendu de la chose écrite. Ce n'est qu'en partie vrai.Les éditeurs ont aussi une part de responsabilité. Car la "chose" peut être aussi, vue, lue et écoutée. Vous avez à votre board JL Gassé, je l'ai croisé quand il initiait les revendeurs Apple à la vente de l'Apple II. A l'époque Hardware et software même combat. Bien malin celui qui pouvait dire qui de l'Apple II ou de Visicalc tirait les ventes. Le ROI était vite calculé pour les cadres de l'époque. Un Ebook à 350$ ou 650 pour Irex, juste pour lire le dernier Dan Brown, meilleure vente électronique aux US en 2005,j'y crois pas. Mais mon analyse peut s'avérer érronnée. Le bundle "quotidien plus livre" est peut être une solution. Sur notre territoire la presse quotidienne semble bien hésitante face au quotidien numérique, qui semble mal supporter d'être vendu.Il va falloir du talent pour les convaincre de changer de modèle, a vous de jouer :-)
Marc-André Fournier
Hum, nous préparons justement avec les Echos des choses qui vont dans votre sens. Sur Apple, voyez mon billet ironique à brunorives.blogspot.com.
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